Lionel Jospin : “Tata Yoyo”

On le savait grâce (entre autres ;)) à Natacha, Jospin revient sur la scène politique… et il blogue !
Il s’en passe des choses, tout de même.

Brefle.

À la chanson-portrait “Je n’ai pas changé“, je répondrai par… Tata Yoyo, un autre beau portrait de notre ancien premier ministre.   

 


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Tata Yoyo par Annie Cordy
Paroles et Musique: G.Gustin, J.Mareuil   1980 
© 1980 – Corany music

Tata Yoyo qu’est-ce qu’y a sous ton grand chapeau
Tata Yoyo, dans ma tête y a des tas d’oiseaux
Tata Yoyo, on m’a dit qu’y a même un grelot
Mais, moi j’aime ça quand ça fait ding ding di gue ding
Comme une samba

J’ai mon boa Mon vieux chapeau
Ma robe à fleurs
Et mon mégot
Mon parasol
Et mes faux cils
Et une boussole
Sur mon nombril
Les Brésiliens m’ont surnommée la folle de Rio
Mais les enfants me donne un nom plus rigolo

{au Refrain}

Depuis le temps
Que je m’trimballe
Parmi les masques
Du Carnaval
Ma silhouette
Mon charme fou
Ça les embêtes
Ils sont jaloux
Je les entends sur mon passage dire : Ah ! quelle est belle
Un gosse a dit : Papa, j’la veux pour mon Noël

Tata Yoyo qu’est-ce qu’y a sous ton grand chapeau
Tata Yoyo, dans ma tête y a des tas d’oiseauxTata Yoyo, on m’a dit qu’y a même un grelot
Mais ça n’fait rien quand je danse ça fait ding ding di gue ding
Et j’aime bien
Oui, moi j’aime ça quand ça fait ding ding di gue ding
Comme une samba.

Il jouait du saxo debout

…c’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup.

.o.O.( faudrait penser à se renouveler car j’ai déjà sorti ce couplet quelque part sur ce blog )

Bon, aller. Depuis le temps que je me dis que je vais bloguer cette photo… Voilà, c’est fait, comme ça on en reparle plus. Et puis ça fera un peu d’activité par ici. 😀

Ce n’est rien de particulièrement particulier, si ce n’est bibi en train de prendre une leçon de saxophone (oui, en espadrilles 😛 ) et ça fait bien marrer mon prof, David. C’était chouette, j’ai bien accroché.

Voilà. D’ailleurs, je ferai bien de m’y remettre sinon je vais tout oublier.

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On ne perd pasà tous les coups non plus

Cette fois, on change la donne par rapport à mon précédent billet. 😛

J’ai gagné un des 5 prix du concours “Mon ordi, mon bureau, mon bordel” organisé par GirlyGadget (animé par Jen la bobo barjo du 6e 😉 ).

Mais comment se fait-il ? Eh bien c’est grâce à la fameuse photo de mon bureau de geek bien rempli comme il se doit :

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La récompense était un t-shirt au choix dans la boutique InkMySoul. J’ai choisi le modèle “Float like a butterfly“. Un joli design et une chouette couleur (eh non, il n’est pas noir 😛 ). J’en suis très content, en plus il paraît qu’il me va bien. 😎

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N.B. : le sourire de crooner est d’origine, je ne l’ai pas gagné à un coucours. Non mais ! 😀

Dans le paquet contenant le t-shirt (reçu à mon lieu de villégiature) il y avait aussi des autocollants et un badge que je me suis empressé d’accrocher à la dragonne de mon mobile :

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InkMySoul est une jeune boutique crée par Aurélie qui a plaqué son boulot dans le webmarketing pour se consacrer exclusivement à la vente de t-shirts en ligne. On apprend malheureusement sur son blog que les temps sont durs. 🙁 Ce qui la pousse à brader son stock avant de mettre la clé sous la porte. Alors si ne savez pas quoi faire de votre argent (la vérité ! 10€ pièce c’est pas cher mon frère !) ou que vous cherchez à vous habiller de façon originale et de qualité (les t-shirts utilisés sont des American Apparel), n’hésitez pas à aider Aurélie en faisant un tour sur la boutique avant qu’il ne soit trop tard et que vous le regrettiez amèrement toute votre vie. 😛

Aller, courage Aurélie.

Tous les gagnants du concours “Mon ordi, mon bureau, mon bordel (voir également ici)

1er prix : K-ROSE

Monarchi “pour la sérénité de l’espace”
Patrice “pour l’esthétisme”
Mad’moiselle C “pour le kawaï ultra féminin”

Et Sacha “pour son coeur de geek” 😉

On ne gagne pasà tous les coups

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C’est avec cette photo de moi en 1982 que j’ai perdu au concours “Ta Face des 80’s” qui a eu lieu sur le blog de mry.
Sympa ce concours (Natacha a aussi participé). On a pu voir tous les âges, toutes les couleurs, tout les looks typiques des années 80. Si mémorables justement pour son esthétique un peu… comment dire… spéciale. 😀

Les gagnants

1er prix : Marirose (un grand moment des 80’s, elle mérite bien son prix 😉 )
Christophe
Osmany

Voir tous les participants

La chanson du CSS


css.mp3Par di13774n73 (ou “dilettante”, si vous ne comprenez pas le 1337 5p34k 😛 )

Bon… on ne peut pas dire que se soit très bien chanté mais on souligne l’effort. 😉 Vous pouvez retrouver les paroles avec des liens explicatifs pour les termes techniques, et les accords de guitare sur cette page.

Look ma, no WYSIWYG!

Il y a quelques jours, je me suis rendu compte d’un fait peu banal (pour moi) : je n’utilise plus d’éditeur de pages html “WYSIWYG” (comme Dreamweaver par exemple).

Je ne me sers que d’un éditeur en texte simple. Aucune mise en forme, aucun choix de typos. Du code, un point c’est tout. Un retour à mes premières amours en quelque sorte. À l’époque où j’ai commencé à coder du html (en 1994), un éditeur WYSIWYG c’était de la Science-Fiction, on ne pouvait faire autrement que de taper tout le code à la main, ou presque.

C’est pratiquement indispensable lorsque l’on travaille sur un site dynamique, par exemple un blog. Il faut modifier en permanence plein de fichiers PHP, CSS, XHTML, etc. Sans parler des plug-ins qu’il est souvent nécessaires de traduire, adapter, hacker directement dans le code.

Maintenant, je programme les sites que nous produisons en XHTML 1.1 et CSS uniquement. Sans <table> et autres casses-têtes. Le but était de produire un code propre, de séparer la forme du contenu (aucunes images incluses dans l’habillage, ce qui facilite la refonte graphique), qui fonctionne dans les principaux navigateurs, qui respecte une certaine sémantique, qui peut s’adapter selon le terminal utilisé tout en passant les tests de validations. Vous l’aurez compris, un éditeur WYSIWYG n’est pas l’outil idéal pour ça. Surtout quand il “pond” un code affreux.

Sans me poser plus de questions que ça, je me suis donc retrouvé à taper tout le XTHML et CSS à la main dans BBEdit sur Mac. Ça marche aussi avec la version gratuite TextWrangler, version allégée de BBEdit mais pas si allégée que ça finalement (vous avez bien lu : GRATUIT !). En plus il permet de coder dans tout les langages, donc il n’y a plus qu’une seule application pour le HTML, CSS, PHP, JavaScript, Perl, etc. Il a aussi un client FTP et SFTP intégré qui permet d’éditer des fichiers distants sans avoir à les redeposer à chaque modifications. Pomme+s et hop! cest en ligne. Magique.

Voici avec quoi on débute un site :

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(pour une feuille de styles c’est encore plus dépouillé : le document est complètement vide 😛 )

Autre avantage : la rapidité. Qu’il y a-t-il de plus rapide pour afficher les pages qu’un navigateur ? Rien. Qu’il y a-t-il de plus rapide et simple pour coder qu’un éditeur de code (justement 😛 ) ? Rien.
Et, surtout, l’éditeur non WYSIWYG ne plante pas au beau milieu d’un boulot à rendre hier ! Haha ! Moi j’vous l’dis, c’est que du bonheur. 😀

Bien entendu, il faut que le(s) navigateur(s) web soi(en)t ouvert(s) et recharger la page en cours à chaque modifications pour voir le résultat. Bien entendu, il faut chercher sur Google pourquoi telle chose ne marche pas comme prévu, car les navigateurs ont un rendu différent (point qui diffère peu avec le html basique). Bien entendu, c’est toujours Internet Explorer 6 (et ses nombreux bugs) qui pose problème. Dans ce cas, il faut faire une feuille de styles alternative spécialement pour IE. Ce qui fait “perdre” de nombreuses heures. Mais la compatibilité est à ce prix.

Le résultat final est sans appel. Il y a moins de balises, les pages s’en trouvent allégées. C’est propre, net et sans bavures. Comme cas d’école personnel, j’ai fabriqué un site (pas encore en ligne) pour un client qui passe les validations sans aucune erreur, qui fonctionne parfaitement avec pas moins de 5 navigateurs différents (si on n’est pas à deux pixels près) : Safari (Mac), Firefox (Mac/Win), Opera (Mac/Win), Internet Explorer 6 (Win) et même Internet Explorer 5 sur Mac ! 😀 Si l’on additionne toutes les versions sur les deux plates-formes, ça fait 7 navigateurs ! (mais ne prenez pas mon blog en exemple, ce n’est pas moi qui l’ai fait 😛 )

Voilà comment on passe d’un logiciel usine à gaz à un outil simple, mais surpuissant. 😉

Bref. Tout ça est un peu comme le gars qui jouait du piano debout. “C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup.” 😛

Mais qu’est-ce qui fait courir le Geek ?

À l’instar de The seeKoeur, mon blog n’est pas très actif (c’est le moins que l’on puisse dire) mais il n’est pas mort !
Deux mois et demi sans bloguer, ça fait un bail. Mais figurez-vous que lorsque l’on fabrique des blogs pour les autres, on n’a plus le temps de bloguer et à peine plus pour laisser des commentaires ailleurs. Paradoxal, mais vrai. 😉

En attendant que je puisse remettre la tête dans tout ce que j’ai mis dans la liste des choses à bloguer, voici une liste désordonnée et non exhaustive de ce qui m’a occupé tout ce temps : • Des rendez-vous, plein de rendez-vous (même le matin, si si !) ;

• Un voyage express à Rennes (3h30 sur place) ;
• Le blog de Philippe Quéau ;
• Deux articles (pas finis) sur des bidouilles de Mac ;
• Un Podcast d’Yvette Roudy ;
Refonte complète du site du Carrefour numérique de la Cité des Sciences ;
• Les deux blogs du Carrefour numérique (La vie du Carrefour et L’actualité du numérique)
• La transformation complète du site d’i-marginal (ma boîte) en blog ;
• Tournage, montage, etc. d’une bande annonce pour une pièce de théâtre au Parc de La Villette ;
• Le blog du GNCR ;
• Interviewé par Nouvelles Clés ;
Accrédité aux conférences de presse du PS ;
Podcast lors d’une conf de presse du PS. ;
• Montage du clip “The Fly at the WiFiPicning” pour la promo ;
• Création et mise en œuvre du concept de PocketBubble ;
• La préparation du WiFiPicning 3.0 ;
• Le WiFiPicning lui-même (toutes les photos) ;
Un site et un blog pour le Conseil économique et social (troisième assemblée constitutionnelle de la République) ;
• Changé de téléphone mobile pour un beau Nokia N90 (mis à disposition par Nokia France 😛 ) ;
D’autres photos et d’autres vidéos (ici aussi) ;
Réparation de ma machine à laver ;

• Et j’oublie certainement quelques trucs ;

Le tout dans un temps record et, bien sûr, en compagnie soit de Natacha, de jeanrem, de Tristão ou de moi-même. 😛

On peut comprendre aisément que je ne trouve pas toujours le temps de répondre aux mails (parfois même de les lire), de répondre dans le chat, de me raser ou de me laver les joues. Bon, pour les deux dernières choses je trouve quand même le temps (question de principe), contrairement à mon ami Dino. Mais son cas est plus grave, il est limite nervous breakdown.

Des mobiles pour les Big Brothers

En recherchant des accessoires pour mobiles, je suis tombé sur un site vendant des téléphones espions  ! Comment ça marche ? C’est simple, par un réglage caché dans ces appareils il est possible d’indiquer un numéro de téléphone. Lorsque l’on appelle à partir de la ligne précédemment indiquée, le téléphone-espion décroche automatiquement, sans sonner, sans rien afficher sur son écran, comme si de rien n’était. C’est effrayant.

Le porteur de ce micro-espion moderne n’a aucun moyen de savoir qu’on écoute tout ce qui se passe (dans sa poche ou son sac à main 😀 ) ! En revanche, aucun autre appel n’est possible, entrant ou sortant.

Notons que ce ne sont pas des modèles louches au design soviétique, mais des Siemens dépassés. Il y a de fortes chances (espérons !) qu’ils soient hackés et non pas vendus officiellement par cette marque. Le site précise quand même qu’espionner son prochain peut être illégal dans certains pays. Par hasard, la France ? Ils sont malins, ils n’en parlent pas. Seul le prix, entre 900€ et 1900 € (glups !) rebutera les jaloux du dimanche.

Si un jour votre bien-aimé(e) ou votre patron(ne) vous prête ou vous en offre un, méfiez-vous !

SpyPhone

     

Un billet sur lesévènements parisiens… en anglais

Ce week-end, j’ai jonglé entre tout ce que j’avais à faire pour le boulot et en dehors. Pas facile, mais on y arrive. Le temps passe très vite quand on est affairé. Et une heure de moins due au passage à l’heure d’été n’arrange rien. 😛

Entre des vidéos pour Memoire-Vive, des photos pour flickr (dont certaines à venir), un billet pour ici (bientôt en ligne) et des bidouilles sur les autres blogs que j’administre avec Natacha, j’ai réussi à pondre un billet en anglais pour Metroblogging Paris. Exercice délicat pour moi qui ne pratique pas beaucoup (c’est le moins que l’on puisse dire) la langue anglaise à l’écrit. Et encore moins à l’oral. 😀

Paris Metblog n’est plus qu’un photoblog (je suppose par manque de temps des participants et de moi-même). C’est dommage, car la communauté des Metblogs (plus de 40 villes) est assez active. Enfin. J’ai pensé que le sujet valait la peine d’être abordé sur ce blog. J’ai donc pris mon courage à deux mains et écris un billet à propos des évènements parisiens de ces dernières semaines, vus de là où je vis.

C’est par ici : Paris is not burning but…

P.S. : Merci à Étienne qui a relu et corrigé mon billet anglais. 😉

Clip de l’UMP : un montage de stock-shots

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En regardant la pub de l’UMP postée chez Tristan (voir “Nicolas Sarkozy pompe Apple pour sa campagne ?“) je me suis dit que les images qui la composent sont bien trop nord-américaines et sans cohérence visuelle pour avoir été produites par une société de production “classique” digne de ce nom. Ça a tout l’air de “stock-shots”.

Voici la définition de “stock-shot” dans Wikipédia : Un stock-shot est une série d’images (avec ou sans son) empruntées à des documents d’archives (film, documentaire, reportage, etc.) et insérées dans un métrage. Les stock-shots sont très employés dans les films de série B (voire Z) pour des raisons de coût, généralement au mépris des lois du copyright. Un stock-shot peut se faire repèrer assez facilement, dû à la qualité et au format de l’image différents, son, éclairage, etc.

Étant graphiste et un habitué des banques d’images il ne m’a pas fallu longtemps pour trouver la source : Getty Images. (le site est en maintenance :-/ )

(MàJ : Je précise que Getty Images est une banque de photos et de vidéos professionnelles qui, à ma connaissance, n’est pas “au mépris des lois du copyright”)

Après quelques recherches rapides et non exhaustives, j’a retrouvé 6 séquences du clip de l’UMP dans le catalogue de Getty. Il ne se sont pas foulés. On comprend mieux pourquoi ça a un faux air de pub Microsoft sans en avoir la qualité graphique. Je ne parle même pas du contenu qui dans ce cas (comme pour MS) laisse terriblement à désirer. Quant aux images “iPod like” (qui durent 4 secondes), elles ne font que participer à l’incohérence du spot alors qu’elles sont là certainement pour plaire aux djeuns. C’est pas gagné.

Je ne connais pas la finalité de ce clip. Est-il destiné à passer à la télé ou que sur le net ? Un coup de marketing viral ? En tout cas, ils auraient pu mieux faire. On a l’impression qu’ils nous prennent pour des gogos.

N.B. : Je voulais mettre des liens et indiquer le prix des bouts de vidéos chez Getty Images mais comme ils sont en train de mettre à jour leur site, je le ferai quand il sera de nouveau accessible.